Retour Dès le début, j’ai été bien accueilli. Chez Cohezio, on s’intéresse à l’histoire derrière la personne.
Jeroen, Infirmier du travail
Je m’appelle Jeroen, j’ai 50 ans et j’ai commencé à travailler chez Cohezio en décembre 2018 dans la région d’Anvers.
J’avais envie d’avoir une vision globale et c’est ainsi que je suis passé du curatif au préventif.
Jusqu’à il y a 5 ans, j’avais toujours travaillé dans le secteur curatif. Après tout ce temps, j’avais besoin d’autre chose. C’est à ce moment-là que je suis tombé sur l’offre d’emploi de Cohezio et passer du curatif au préventif me plaisait beaucoup.
Dès le début, j’ai été bien accueilli. Chez Cohezio, on s’intéresse à l’histoire derrière la personne.
C’est que j’ai ressenti dès les entretiens d’embauche. On n’a pas l’impression de passer un interrogatoire. Mon interlocuteur était attentif à l’histoire derrière la personne, c’était un entretien agréable et humain, et j’ai vraiment eu l’impression d’avoir ma chance.
De même, quand j’ai commencé à travailler, mes collègues m’ont également mis à l’aise et ils ont été très sympas. J’ai reçu un plan de formation, on m’a attribué une marraine et on m’a directement impliqué dans les activités. Au bout de quelques semaines, on m’a fait confiance et j’ai pu faire mes premières consultations seul.
Cohezio est attentif aux formations et aux recyclages nécessaires à la fonction.
Pour ma part, j’ai pu suivre la formation de Conseiller en prévention Niveau II. J’ai également suivi différentes formations internes, j’ai pu suivre des journées d’étude auprès d’associations professionnelles. Dans un futur proche, je commencerai le post-graduat d’Infirmier du travail.
Il y aura toujours des formations à suivre dans les prochaines années. Après la formation de Conseiller en prévention Niveau II, je suivrai différents recyclages obligatoires. Mais c’est un plaisir, j’adore apprendre !
Aucune journée ne se ressemble. On a des clients différents, d’autres actes techniques à réaliser, d’autres points d’attention, c’est ce qui rend le travail captivant !
L’infirmier du travail réalise des actes techniques propres à sa fonction et entretient des contacts sociaux quasi tous les jours. On travaille soit en équipe en support du médecin, soit en autonomie. On commence la journée dans un de nos centres ou chez le client. En fonction du planning, on peut être amené à se déplacer vers un autre site sur le temps de midi. Par défaut, on commence la première consultation à 8h00, pour terminer la journée vers 16h00 ou 16h30.
Je pense qu’il faut de nombreuses qualités pour être un bon infirmier du travail.
- Engagement social: vouloir améliorer la personne que l’on a en face de soi.
- Attention portée à la personne dans son ensemble: tenir compte non seulement du volet paramédical, mais aussi du volet social.
- Avoir des connaissances paramédicales et être disposé à suivre des formations.
- Respect et patience: on voit beaucoup de personnes. Il est important de rester neutre, d’avoir un esprit ouvert, d’être respectueux envers chacun et de vouloir bien faire les choses.
- Flexibilité: pouvoir passer d’une vitesse à l’autre, d’une langue à l’autre, d’un site à l’autre, s’adapter au client et à la collaboration avec les collègues.
J’aime faire ce travail chez Cohezio car je m’y sens bien ! En tant qu’employeur, Cohezio a trouvé le juste équilibre entre d’une part la performance et d’autre part l’attention à porter au personnel. C’est aussi ce que l’on attend d’un service externe de prévention : veiller non seulement à la santé des travailleurs des clients, mais aussi à celle de ses propres travailleurs.
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